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Calculs rénaux

Calculs rénaux : qu’est-ce que c’est?

Les calculs rénaux, communément appelés « pierres aux reins », sont le résultat de la cristallisation de sels minéraux et d’acides présents en trop forte concentration dans l’urine. Le processus est le même que celui que l’on observe dans de l’eau contenant beaucoup de sels minéraux : au-delà d’une certaine concentration, les sels commencent à se cristalliser.

Habituellement, les calculs se forment à l’intérieur d’un rein. La plupart d’entre eux s’éliminent spontanément en passant à travers les divers conduits du système urinaire.

Dans le cas où les calculs sont suffisamment gros pour bloquer l’uretère (le conduit qui relie le rein à la vessie), ils provoquent de fortes douleurs. C’est ce qu’on appelle la colique néphrétique.

Qui est touché?

De 5 % à 10 % des individus vivront une crise de colique néphrétique au cours de leur vie. Les calculs rénaux surviennent habituellement dans la quarantaine. Ils sont deux fois plus fréquents chez l’homme que chez la femme.

Plus de la moitié des personnes qui ont déjà eu un calcul en auront de nouveau dans les dix ans qui suivent la première crise. La prévention est donc très importante.

Types de calculs

Les calculs se distinguent par leur composition chimique. Des tests d’urine et une analyse des calculs récupérés permettent de connaître leur composition.

Calculs à base de calcium. Ils comptent pour environ 80 % de tous les calculs rénaux. Ils englobent les calculs à base d’oxalate de calcium (les plus fréquents), de phosphate de calcium ou d’un mélange des deux. Ils sont causés par la déshydratation, un apport excessif de vitamine D, certaines maladies et certains médicaments, une alimentation trop riche en oxalate ou des facteurs héréditaires.

Calculs de struvite. Ils comptent pour 10 % à 15 % des cas. Ils sont reliés aux infections urinaires chroniques ou à répétition d’origine bactérienne. Contrairement aux autres types de calculs, ils sont plus communs chez les femmes que chez les hommes. Souvent, ils se développent chez les personnes qui ont une sonde vésicale.

Calculs d’acide urique. Ils représentent de 5 % à 8 % des calculs rénaux. Ils se forment en raison d’une concentration anormalement élevée d’acide urique dans l’urine. Les gens atteints de la goutte ou qui reçoivent une chimiothérapie sont plus enclins à en souffrir.

Calculs de cystine. Cette forme est la plus rare. Dans tous les cas, leur formation est attribuable à la cystinurie, une déficience génétique qui entraîne l’excrétion d’une quantité excessive de cystine (un acide aminé) par les reins.

Complications possibles

Si le calcul bloque complètement l’évacuation de l’urine, une hospitalisation d’urgence est requise. Cette situation risque de causer une infection sanguine (septicémie), en plus d’endommager les reins de façon importante. Il peut arriver qu’en plus de l’obstruction par le calcul, une infection s’installe et aggrave l’état de santé.

Symptômes des calculs rénaux

  • Une douleur soudaine et intense au bas du dos (d’un côté du tronc, sous les côtes), qui irradie dans le bas du ventre et vers l’aine. La douleur peut durer quelques minutes ou quelques heures, et elle n’est pas nécessairement continue, mais elle peut devenir d’une intensité insoutenable.
  • Des nausées et des vomissements.
  • Du sang dans l’urine (pas toujours visible à l’oeil nu) ou une urine trouble.
  • En cas d’infection urinaire, on ressent aussi une sensation de brûlure lorsqu’on urine ainsi qu’un fréquent besoin d’uriner. On peut aussi avoir de la fièvre et des frissons.

Personnes à risque

  • Les personnes qui ont déjà eu un ou plusieurs calculs rénaux.
  • Les personnes qui ont des antécédents familiaux de calculs rénaux.
  • Les hommes.
  • Les personnes vivant dans des pays au climat chaud et sec ou qui travaillent dans des environnements très chauds (par exemple, dans des cuisines commerciales), en raison du risque plus élevé de déshydratation.
  • Les personnes qui font de l’hypertension. Cela double le risque de calcul rénal2.
  • Les personnes obèses.
  • Les personnes souffrant de certaines maladies métaboliques, comme la cystinurie (trop de cystine dans l’urine), la maladie coeliaque, l’hyperoxalurie (trop d’oxalate dans l’urine), l’hypercalciurie (trop de calcium dans l’urine), l’acidose tubulaire rénale (qui cause une urine très acide) ou l’hyperparathyroïdie.
  • Les personnes atteintes de la goutte.
  • Les personnes qui ont des infections urinaires à répétition.

Facteurs de risque

Ces facteurs concernent principalement les personnes à risque, notamment celles qui ont déjà souffert de calculs rénaux.

  • Une mauvaise hydratation. Boire peu diminue le volume d’urine, donc concentre l’urine en sels.
  • La sédentarité. Le manque d’activité physique provoque une perte graduelle de la masse osseuse, donc la libération de calcium.
  • La prise de certains médicaments. Prendre des diurétiques ou des antiacides à base de calcium, par exemple, peut faire augmenter le risque de souffrir de calculs rénaux. Les personnes à risque devraient s’informer auprès de leur médecin ou de leur pharmacien au sujet de leur médication.
  • Une alimentation comportant un excès de protéines. Les protéines augmentent les taux de calcium, d’oxalate et d’acide urique dans l’urine, et diminuent le taux de citrate (un facteur de protection contre les calculs)3. Des études laissent croire que le végétarisme réduit le risque de calculs rénaux4, 22, 23. Cependant, si la quantité quotidienne de protéines est adéquate, celles-ci n'influent pas sur le risque de calculs rénaux, qu'elles soient d'origine animale ou végétale5.
  • Une alimentation carencée en calcium. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le calcium d’origine alimentaire (produits laitiers, poissons en conserve avec les arêtes, fruits, légumes verts, légumineuses, noix) exerce un effet protecteur contre les calculs rénaux37, 38.
    Les suppléments de calcium pris avec les repas peuvent avoir le même effet, mais pris seuls, ils peuvent augmenter légèrement le risque de calculs rénaux9-11.
  • Une alimentation très salée.

Prévention des calculs rénaux

Peut-on prévenir?

Les mesures préventives s’adressent d’abord aux personnes à risque ou à celles qui ont déjà eu des calculs rénaux. Les approches suivantes peuvent aider, mais pour qu’elles soient plus efficaces, il faudrait déterminer la cause des calculs en se soumettant à divers tests (analyse d’urine, analyse du calcul récupéré).

 

Mesures pour réduire le risque ou prévenir les récidives

Hydratation

Le meilleur moyen de prévenir les calculs rénaux est de boire suffisamment, ce qui veut dire au moins deux litres d’eau ou d’autres types de boissons (jus, bouillons, café, etc.) chaque jour. L’eau est à privilégier. Il faut penser à s’hydrater davantage lorsqu’on fait des efforts physiques intenses (l’apport de liquide doit être alors d’au moins trois litres par jour) et durant la saison estivale. Les personnes qui vivent dans un climat chaud et sec devraient boire davantage.

Un moyen simple de savoir si l’on s’hydrate suffisamment est d’observer la couleur de l’urine : elle devrait être incolore ou jaune pâle (sauf dans le cas de personnes ayant pris des suppléments de vitamine B, qui donnent temporairement à l’urine une couleur jaune vif).

Les experts de la clinique Mayo recommandent aux personnes à risque ou ayant déjà eu des calculs de boire un verre de limonade maison chaque jour2. Le citron augmente la quantité de citrate (une substance qui contribue à prévenir la formation de calculs) dans l’urine.

Attention! Il vaut mieux s’abstenir de boire du jus de pamplemousse. Deux études épidémiologiques12, 13 ont lié la consommation quotidienne de 240 ml (une tasse) de jus de pamplemousse à la formation récurrente de calculs rénaux. Tant que le doute persiste à ce sujet, il est préférable de ne pas en consommer, de façon régulière du moins.

Alimentation

Réduire l’ingestion d’aliments riches en oxalate. Les personnes qui ont déjà eu des calculs à base d’oxalate de calcium devraient restreindre leur consommation d’aliments qui en renferment beaucoup.
Voici une liste des aliments les plus riches en oxalate9 : l’épinard, la rhubarbe, la betterave, la bette à carde, l’arachide, le chocolat, le thé, le germe de blé, le gombo (okra), la patate douce et la fève de soya.
Pour en savoir plus, s’informer auprès d’un diététiste.

Maintenir un bon apport nutritionnel en calcium. L’ingestion d’aliments riches en calcium aurait un effet protecteur sur les calculs rénaux15-17. Il faut simplement veiller à respecter l’apport en calcium recommandé (voir notre fiche Calcium). S’informer auprès de son médecin ou consulter un diététiste au besoin. Pour savoir si vous consommez suffisamment de calcium, utilisez notre calculatrice interactive.

Consommer des aliments riches en potassium. Le potassium réduit l’excrétion de calcium. Le meilleur moyen d’augmenter son apport en potassium est de manger beaucoup de fruits et de légumes qui, pour la plupart, en contiennent. Ceux qui en renferment le plus sont la pomme de terre (avec la peau), le cantaloup, l’avocat, le haricot de Lima et la banane.

Manger suffisamment de fibres. Le son représente une riche source de fibres insolubles qui réduisent l’absorption du calcium dans l’intestin, donc le taux de calcium dans l’urine. Les personnes qui vivent des crises récurrentes de calculs rénaux et qui ne mangent pas suffisamment de fibres auraient peut-être avantage à en consommer plus. Cependant, les études menées à ce jour se contredisent à ce sujet18-20.

Médicaments

Le médecin peut prescrire divers médicaments ou suppléments pour prévenir les récidives de calculs, qui varient selon le type de calcul (des diurétiques thiazidiques, de l’allopurinol, du citrate de potassium, etc.).

Prudence avec certains suppléments

Puisque la prise prolongée de fortes doses de vitamine D peut causer des calculs rénaux6, il est conseillé de consulter un médecin avant de recourir à des suppléments de vitamine D. L’apport en vitamine D influence le taux de calcium sanguin.

On s’est inquiété de la possibilité que la consommation à long terme de hautes doses de vitamine C contribue à la formation de calculs rénaux, car la vitamine C est transformée en oxalate par l’organisme. Selon les auteurs d’une synthèse7 parue en 2005, la supplémentation en vitamine C ne présente aucun danger jusqu’à concurrence de 2 000 mg par jour (en doses divisées). Cependant, selon une étude de 14 ans auprès d’une cohorte de plus de 45 000 hommes, la prise de 1 000 mg ou plus de suppléments de vitamine C par jour fait légèrement augmenter le risque de calculs rénaux8. S’informer auprès de son médecin. Mentionnons que l’apport nutritionnel quotidien recommandé en vitamine C est de 90 mg pour un homme non fumeur. La dose recommandée pour bénéficier de l’effet antioxydant de la vitamine C est de 500 mg par jour.

 

Traitements médicaux des calculs rénaux

Le traitement de base est établi en fonction des résultats des divers tests médicaux que le médecin proposera :

- une analyse d’urine afin de vérifier s’il y a du sang et des cristaux dans l’urine, et pour déterminer son pH;
- une analyse sanguine afin de vérifier l’état de la fonction rénale ou de déceler une anomalie métabolique;
- une tomodensitométrie des reins, des uretères et de la vessie, qui va révéler la présence de la plupart des calculs.

La majorité des pierres sont éliminées d’elles-mêmes dans les six semaines suivant leur formation, spécialement si la personne consomme beaucoup d’eau. Durant cette période, les médecins recommandent habituellement de boire environ 3 litres d’eau ou d’autres types de boissons par jour.

Sous supervision médicale, la personne peut demeurer chez elle si l’affection est légère. Elle peut soulager ses douleurs en prenant un analgésique de type acétaminophène (Tylenol®), jusqu’à ce que le calcul soit évacué. La chaleur aide aussi à soulager la douleur (bains chauds, compresses chaudes et humides).

En cas de calculs de struvite, il importe de traiter l’infection urinaire. Il faut par ailleurs identifier et éliminer autant que possible les facteurs qui prédisposent aux infections.

Interventions

Si la taille du calcul est trop importante, si la douleur est insoutenable ou s’il y a une infection ou un saignement abondant, le calcul devra être réduit en petits morceaux ou extrait chirurgicalement à l’aide de l’une ou l’autre des techniques suivantes.

Lithotripsie extracorporelle par ondes de choc. Au cours de cette intervention, des ondes de choc qui traversent des sacs d’eau sont produites sur la peau et orientées directement vers le calcul. Elles le morcèlent, et les petits morceaux peuvent être éliminés par le système urinaire. Cette intervention peut être effectuée en consultation externe.

Néphrolithotomie percutanée. Cette technique est utilisée si le calcul est trop gros ou s’il est positionné de telle façon qu’il ne peut être fragmenté par la lithotripsie extracorporelle. Le médecin pratique une incision dans le dos et installe dans le rein un tube d’observation et un instrument appelé néphroscope qui permet d’extraire le calcul. Si le calcul est trop gros, il peut être fractionné à l’aide d’un laser ou d’énergie électrique. Généralement, le patient reste à l’hôpital pendant plusieurs jours.

Urétéroscopie. Cette opération peut être nécessaire pour ôter les calculs logés dans les uretères. Elle consiste à introduire une sonde (appelée urétéroscope) dans la vessie par l’urètre, jusqu’à l’uretère. Les calculs sont alors fragmentés ou prélevés intacts. Cette technique peut, cependant, endommager les urètres.

L’emploi d’analgésiques ou d’antispasmodiques aide à soulager la douleur.

Enfin, diverses habitudes de vie ainsi que d’autres traitements peuvent être mis en oeuvre pour prévenir la formation de calculs à l’avenir. Voir la section Prévention.

En prévention

Efficacité incertaine Graines de citrouille. Les graines de citrouille (psn) semblent à la fois réduire la concentration, dans l’urine, des substances causant la formation de calculs et augmenter la concentration des substances inhibant la formation des calculs. Deux études menées en Thaïlande concluent à l’efficacité préventive des graines de citrouille mangées en collation chaque jour24,25.

Efficacité incertaine Huiles de poisson. Quelques études préliminaires laissent à penser que la prise d’huiles de poisson et d’huile d’onagre aurait un certain effet préventif26,27. Une étude non contrôlée effectuée auprès de 88 patients qui étaient atteints de calculs rénaux calciques et à qui l’on a administré chaque jour 1 800 mg d’huiles de poisson (AEP), durant 3 mois ou 18 mois, a relevé une diminution du taux de calcium urinaire28. Cependant, cette hypothèse tend à être infirmée par l’analyse des résultats de trois études épidémiologiques menées auprès de dizaines de milliers d’hommes et de femmes29. Aucun lien n’a été remarqué entre l’apport alimentaire en divers acides gras et le risque de calcul rénal.

Efficacité incertaine Magnésium. Comme le magnésium augmente la solubilité du calcium dans l’urine, il semble avoir un effet préventif sur la formation de calculs rénaux. Il réduit aussi l’absorption intestinale d’oxalate. Les auteurs d’une synthèse récente d’essais cliniques ont conclu que les sels d’oxyde et d’hydroxyde de magnésium avaient donné des résultats variables, qui seraient attribuables à la faible absorption de ces formes de magnésium30. En revanche, au cours d’une étude à double insu menée auprès de 67 sujets, un mélange de potassium et de magnésium administré sous forme de citrate a prévenu de façon nettement plus efficace qu’un placebo la récurrence des calculs rénaux pendant trois ans31.

Efficacité incertaine Vitamine B6. Selon une étude épidémiologique de grande envergure (Nurses’ Health Study - 80 000 infirmières), un fort apport en vitamine B6 (pyridoxine) – que ce soit par l’alimentation ou par une supplémentation ou par les deux - est inversement associé au risque de souffrir de calculs rénaux chez les femmes32. Cette corrélation n’a pas été constatée chez les hommes33. Comme le magnésium, la vitamine B6 contribue à maintenir l’oxalate de calcium en phase soluble.

Usage reconnu Asperge (Asparagus officinalis), Ortie (Urtica dioica), Persil (Petroselinuum crispum), Pissenlit (Taraxacum officinale), Verge d’or (Solidago virgaurea). Ces plantes auraient la capacité d’augmenter le flot urinaire (effet dit diurétique). C’est pourquoi la Commission E allemande reconnaît leur utilité dans la prévention de la formation des calculs rénaux.
Dosage
-
Asperge : boire une infusion par jour contenant de 45 g à 60 g de rhizomes d’asperges infusés dans 150 ml d’eau bouillante. Une autre source indique qu’il est bon, aussi, de les consommer sous forme d’aliment11.
- Ortie : consulter la fiche Ortie.
- Persil : consommer un maximum de 6 g par jour de feuilles et de racines de persil (le persil peut être pris en infusion : infuser 2 g dans 150 ml d’eau bouillante et boire trois fois par jour).
- Pissenlit : consulter la fiche Pissenlit.
- Verge d’or : prendre quotidiennement de 6 g à 12 g de verge d’or sous forme d’infusion (infuser 3 g d’herbe dans 150 ml d’eau bouillante).

En traitement

Efficacité incertaine Acupuncture. L’acupuncture pourrait atténuer les douleurs reliées aux coliques néphrétiques34. De plus, elle aiderait à réduire l’anxiété avant un traitement de lithotripsie par ondes de choc35, 36. Ainsi, une étude menée auprès de 56 patients attendant de recevoir une lithotripsie pour pulvériser leurs calculs rénaux indique que ceux qui ont reçu un traitement d’acupuncture auriculaire étaient moins anxieux au moment de l’intervention que ceux qui avaient reçu le placebo35. En outre, ces patients ont eu besoin d’une plus petite quantité d’analgésique durant la lithotripsie.

Usage reconnu Ortie (Urtica dioica), Persil (Petroselinuum crispum), Prêle des champs (Equisetum arvense), Verge d’or (Solidago virgaurea). La Commission E approuve l’usage de ces plantes dans le traitement des calculs rénaux.
Dosage

- Ortie : consulter la fiche Ortie.
- Persil : consommer un maximum de 6 g par jour de feuilles et de racines de persil (le persil peut être pris en infusion : infuser 2 g dans 150 ml d’eau bouillante et boire trois fois par jour).
- Prêle des champs : consulter la fiche Prêle des champs.
- Verge d’or : prendre quotidiennement de 6 g à 12 g de verge d’or sous forme d’infusion (infuser 3 g d’herbes dans 150 ml d’eau bouillante).

Usage reconnu Pétasite officinal (Petasites hybridus). La Commission E reconnaît que le pétasite soulage les douleurs attribuables aux spasmes des voies urinaires en cas de calculs.
Dosage

Prendre de 50 mg à 100 mg d’extrait normalisé (soit de 7,5 mg à 15 mg de pétasine), deux fois par jour, au repas.

Approches à considérer Pharmacopée chinoise. La préparation Te Xiao Pai Shi Wan est prescrite pour soigner les crises de colique néphrétique. À notre connaissance, aucune étude scientifique n’a été faite pour confirmer l’efficacité de cette préparation. Voir notre fiche dans la section Pharmacopée chinoise.

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